Qui sommes-nous: Camille

Camille Monjaux

Etudiante en Master 2 à l'IPT, je me réjouis de pouvoir concrétiser un rêve que j'avais depuis de nombreuses années, partir faire des fouilles en Israël!!!! 

Je suis née à Toulouse en 1977,j’ai d’abord entamé des études d’histoire à l’université de Reims puis d’archéologie à l’université catholique de Lille. Je me suis par la suite lancée dans la vie active avant de reprendre des études de théologie il y a six ans.

Je m’intéresse à l’histoire et, bien sûr, à l’archéologie. Je suis très heureuse de pouvoir participer à cet  évènement. J’espère y apprendre beaucoup de choses et surtout, rencontrer des étudiants de toutes nationalités partageant les mêmes centres d’intérêt.

Camille.

Qui sommes-nous: Sophie

Sophie Ollier.

Je m'appelle Sophie Ollier, j'ai 20 ans. Je rentre en troisième année de Licence à la Faculté de Théologie Protestante de Paris. 

Partir faire des fouilles archéologiques en Israël est une occasion en or pour découvrir une nouvelle culture, rencontrer des personnes de tout horizons, et pouvoir apprendre une discipline que nous voyons très peu en cours mais qui apporte beaucoup à la théologie. 

C'est un projet qui me tient vraiment à coeur depuis maintenant un an et demi et qui peut enfin voir le jour. 

Alors c'est parti!!! 

Sophie.

Qui sommes nous: David

David

Je suis né en 1984 à Paris. J'ai grandi dans plusieurs villes aux quatre coins de la France. Diplômé de Sciences Po Lille (2006), j'ai travaillé pendant quatre ans au siège administratif d'une petite association de solidarité internationale, Prisonniers Sans Frontières. J'ai ensuite repris des études, cette fois de théologie, à l'Institut protestant de théologie de Paris, où je termine ma deuxième année, en vue de devenir pasteur. Je travaille parallèlement au secrétariat de l'Eglise réformée de Pentemont-Luxembourg. J'appartiens à cette communauté, comme à celle du canton de Lusignan, dans le Poitou, où habitent mes parents.
Je suis heureux de participer à la campagne de fouilles à Azeka, parce que je pense qu'une telle expérience va contribuer à renouveler ma façon d'interroger les textes bibliques. Je vais aussi pouvoir réfléchir à l'articulation entre démarche scientifique et foi personnelle. J'ai également hâte de discuter avec l'ensemble des participants, découvrir leurs parcours, leurs motivations, leurs méthodes de travail.